yiacouvakis hamelin, architectes
L’atelier
- Les architectes
- Prix
- Parutions
Les projets - Public
- Hôtel Taj Rishikesh
- Tour des Pins
- Bureau Équijustice Montréal
- Hôtel Gault
- Journal Voir
Les projets - Résidentiel
- Maison Kirsh
- Les blocs de bois
- Maison-Atelier yh2
- Dans l'Escarpement
- TRIPTYQUE
- Fenêtre sur le Lac
- La Colombière
- L'aile de bois
- La maison du sculpteur Jarnuszkiewicz
- Coupée Croisée
- Les Jumelles
- Contre-jour
- La Luge
- Géométrie noire
- La Cornette
- Pavot rouge
- Blanc-de-gris
- Château de cartes
- NB20°5
- Géométrie bleue
- Kabane Eastman
- Habiter Habitat
- La Maison-tour
- Les maisons closes
- La première maison
- Nous joindre
- EN
Prix d'excellence en architecture
Catégorie bâtiment résidentiel de type unifamilial
Ordre des Architectes du Québec, 2015
—
Construite en un premier temps comme petit bâtiment d’entreposage par l’exploitant forestier, ensuite réaménager en refuge en forêt par les propriétaires actuels, la Colombière représente le parachèvement et donc la troisième phase de la transformation de ce petit bâtiment de services d’un étage en une réelle retraite en forêt se déployant sur trois niveaux.
Dans un esprit de conservation de la nature environnante, le bâtiment ne fut pas agrandi au sol. Le parti adopté a été de voir cette nouvelle phase du développement de l’ancien bâtiment à l’image de la croissance naturelle d’un arbre. L’emprise au sol de l’arbre/bâtiment reste la même lors de son développement, la croissance se faisant plutôt à la verticale en un volume aérien sur le modèle de la canopée arboricole.
Ce parti a permis l’agrandissement du bâtiment tout en conservant le caractère naturel du lieu, sans coupe d’arbre ou même usage d’aucune machinerie lourde pouvant abîmer le contexte naturel de la forêt.
Espace intérieur vertigineux tout peint de blanc. Volume extérieur bardé de cèdre sombre, de mêmes teinte et nature que l’écorce des grands résineux qui l’entoure. Continuité des matériaux et structures du bâtiment d’origine dans la nouvelle construction, sans brisure, mais plutôt en extension de ceux-ci.
Au rez-de-chaussée, un espace ouvert à la structure de bois exprimé, offre un contact direct entre les pièces de jour et le sol de la forêt. Aux étages, chaque pièce s’ouvre sur un vaste espace vertical articulé autour de l’escalier d’acier ultra léger, structure aérienne. Au dernier niveau, sous pignons, mais extérieur, une terrasse couverte, perchoir tout de blanc, donnant son nom à la maison.
La Colombière est un refuge sous pignon perché dans la forêt à l’image des cabanes d’oiseaux.
Prix d'excellence en architecture
Catégorie bâtiment résidentiel de type unifamilial
Ordre des Architectes du Québec, 2015
—
Construite en un premier temps comme petit bâtiment d’entreposage par l’exploitant forestier, ensuite réaménager en refuge en forêt par les propriétaires actuels, la Colombière représente le parachèvement et donc la troisième phase de la transformation de ce petit bâtiment de services d’un étage en une réelle retraite en forêt se déployant sur trois niveaux.
Dans un esprit de conservation de la nature environnante, le bâtiment ne fut pas agrandi au sol. Le parti adopté a été de voir cette nouvelle phase du développement de l’ancien bâtiment à l’image de la croissance naturelle d’un arbre. L’emprise au sol de l’arbre/bâtiment reste la même lors de son développement, la croissance se faisant plutôt à la verticale en un volume aérien sur le modèle de la canopée arboricole.
Ce parti a permis l’agrandissement du bâtiment tout en conservant le caractère naturel du lieu, sans coupe d’arbre ou même usage d’aucune machinerie lourde pouvant abîmer le contexte naturel de la forêt.
Espace intérieur vertigineux tout peint de blanc. Volume extérieur bardé de cèdre sombre, de mêmes teinte et nature que l’écorce des grands résineux qui l’entoure. Continuité des matériaux et structures du bâtiment d’origine dans la nouvelle construction, sans brisure, mais plutôt en extension de ceux-ci.
Au rez-de-chaussée, un espace ouvert à la structure de bois exprimé, offre un contact direct entre les pièces de jour et le sol de la forêt. Aux étages, chaque pièce s’ouvre sur un vaste espace vertical articulé autour de l’escalier d’acier ultra léger, structure aérienne. Au dernier niveau, sous pignons, mais extérieur, une terrasse couverte, perchoir tout de blanc, donnant son nom à la maison.
La Colombière est un refuge sous pignon perché dans la forêt à l’image des cabanes d’oiseaux.
- Superficie
- 1300 pi.ca.
- Équipe de conception
Marie-Claude Hamelin, architecte
Loukas Yiacouvakis, architecte
François Bélanger, bachelier en architecture
- Crédits photos
- Francis Pelletier